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- Écrit par : Michel Defaux
La Fédération Française de Voile a récompensé les Top Clubs 2021. Nautique-Seine a reçu le Top Club 2021 récompensant la plus belle progression en Ile de France en termes de licences. Nautique-Seine s’est vu récompenser pour la plus belle progression en termes de licences (776 au total) pour la région Ile de France.
Ce sont au total près de 50 structures affiliées à la FFVoile qui ont été mis à l’honneur lors de cette cérémonie. « La cérémonie des Top Clubs, c’est la fête des clubs ! « soulignait Jean-Luc Denéchau, Président de la Fédération Française de Voile lors du salon Nautic de Paris. « A la FFVoile, nous avons plus de 1000 clubs
et c’est donc 1000 histoires différentes. Aujourd’hui, nous avons célébré les clubs, célébré le plaisir d’être dans un club que ce soit pour la pratique sportive en compétition ou pour la pratique loisir. Nous avons une richesse incroyable dans notre Fédération puisque nous allons de la voile radio-commandée à la course au large, sans oublier le eSailing, et c’est cette diversité qui fait notre force. Je souhaite que chaque club ait sa propre identité au sein d’une Fédération forte. »
Les trois trophées nationaux ont été remis au Centre Régional de Nautisme de Granville pour le trophée de l’Ecole Française de Voile de l’Année, au Club Nautique Voile d’Aix-Les-Bains au titre de Club Compétition de l’Année, et au Club Nautique de la Croisette pour le titre du Club Féminin de l’Année.
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- Écrit par : Michel Defaux
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- Écrit par : Michel Defaux
Notre atelier, lieu de rencontre et de brassage d’idées avec de jeunes élèves-ingénieurs, continue d’abriter les travaux du Pôle Léonard de Vinci à La Défense, représenté par l’association HydroVinci.
Ces élèves-ingénieurs adhérents du club, ont participé en juillet dernier au Monaco Solar & Energy Boat Challenge et affichent de bons résultats. Cette compétition internationale a pour but d’améliorer l’efficience énergétique des bateaux. Pour sa 9° édition, l’épreuve a a rassemblé 200 concurrents, soit 16 nationalités réparties en 32 équipes et en 3 catégories.
Le Yacht Club de Monaco remet à des étudiants en école d’ingénieurs des coques de catamaran conçus spécialement pour la compétition. Le défi est de construire un cockpit et de créer le système de propulsion le plus performant et endurant qui soit, en utilisant les énergies renouvelables de leur choix, le tout à partir d’une quantité d’énergie donnée. Cette année la limite d’énergie était de 10kWh maximum.
Hydrovinci a pris part cette année à toutes les courses organisées pendant les jours de compétition, les courses d’endurance, de vitesse, de slalom, et la « championship race » avec les résultats suivants :
- Championship race : 8ème
- Endurance race : 7ème
- Slalom race : 7ème
- Vitesse : 2ème (en Classe Energy)
L’année prochaine, HydroVinci retournera à Monaco avec un nouveau cockpit et un nouvel aménagement pour le moteur, les batteries et les systèmes intégrés à l’intérieur du bateau.
L’association se lance également dans un nouveau challenge avec le projet Micro-Transat. L’objectif est de concevoir un bateau 100% autonome de moins de 2,4 mètres de long et qui avancera à l’énergie solaire. Le but est de traverser l’océan atlantique le plus rapidement possible en partant vers l’est ou vers l’ouest. HydroVinci apprend à programmer un bateau autonome sur une longue distance et à utiliser cette énergie renouvelable, ce qui rentre dans la continuité de sa vision et des enjeux environnementaux actuels.
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- Écrit par : Michel Defaux
Connaissez-vous le Pabouk ? Ce petit dériveur dont vous avez dû voir les voiles rouges sur la base nautique de Sèvres se caractérise par un grément catboat Houari, c’est-à-dire un mât sans hauban placé tout à l’avant du bateau. L’autre particularité du Pabouk est de disposer d’un ballast liquide qui se remplit d’eau naturellement lors de la mise à l’eau. C’est un bateau simple, facile à diriger et amusant. Un bateau idéal pour faire ses premières armes et qui a convaincu Nautique-Seine qui dispose d’une flotille de six bateaux.
Toutes ces qualités ont convaincu les organisateurs de la Solitaire du Figaro qui ont organisé vendredi dernier une « Régate des Héros » sur Pabouks pour fêter les 50 ans de Port-La-Forêt. Cette sympathique animation a rassemblé Jean Le Cam, François Gabart, Vincent Riou, Armel Le Cléac’h, Charlie Dalin et Philippe Poupon. Pour la petite histoire, c’est Philippe Poupon et François Gabart qui ont remporté les deux manches du jour.
Alors, comme les plus grands skippers, n’hésitez pas et venez naviguer sur Pabouk à Nautique-Seine !
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- Écrit par : Michel Defaux
Les années Covid nous ayant contraint à fermer notre atelier, puis restreindre l’accès à nos membres, ont fortement impacté l’activité de notre chantier naval. A tel point que le dernier bateau en date, construit à Sèvres était notre Seil 18 mis à l’eau en juin 2018.
Dimanche 10 juillet 2022, Lionel Mottay a mis à l’eau son Aloes 18 commencé en juin 2018. Au total, il aura passé pratiquement 2,5 ans à construire son bateau dans notre atelier.
L’Aloes 18 est un voilier dériveur dessiné par l’architecte naval Antoine Mainfray. Son grand cockpit et son pont flush deck permettent de manœuvrer facilement et en toute sécurité, tout en offrant un vaste espace de loisir au mouillage. Rapide à gréer et facile à mettre à l’eau grâce à son ballast liquide, l’Aloes 18 peut explorer tous les plans d’eau sans contrainte de place de port. Sa dérive intégralement rétractable lui permet d’approcher au plus près des grèves et de beacher sur son fond plat sans béquilles. Stable grâce à sa carène large, l’Aloes 18 est également léger et vif sous voiles, et offre de belles sensations sans pour autant exiger de ses passagers un engagement physique important.
Baptisé Ar Vag Bihan (Petit Bateau) l’Aloes 18 a été construit à Sèvres selon les techniques modernes de construction amateur, à savoir contre-plaqué marine et résine époxy. Lors de la mise à l’eau, Lionel racontait qu’il a tout appris sur place et notamment l’utilisation des résines époxy. Les dernières pièces réalisées en infusion sous vide (notamment la dérive centrale) ont fait l’admiration des constructeurs présents à Sèvres.
L’Aloes 18 navigue désormais autour de son point d’attache du Pouliguen.
Bonnes navigations Lionel !